Rennes, et donc Toulouse. « Il y aura un peu moins de monde que l’an dernier avec les France. Nous sommes aux alentours de 3 500 inscrits et 2 200 sur le marathon relais (10,8 km – 9 – 11,8 – 9,05 et 1,54 km de parcours commun, ndlr) » glisse Justine Nayrolles, chargée de projet pour la communauté urbaine, organisatrice de la manifestation. L’an passé, ils furent 3 482 à terminer le marathon toulousain (soit le 5e marathon français au VO2 BOOK) , qui possède le label international depuis 2010 « Il doit y avoir un petit impact lié aux France. L’officialisation de la date du marathon, en juin, a aussi été un peu tardif » explique t-elle.
Il n’y aura pas de grand changement par rapport aux années précédentes, avec toujours une cinquantaine de points d’animation disséminés tout au long du parcours, dans le but de rendre les plus festif possible ces 42,195 km, dont le tracé emprunte une bonne partie du centre-ville historique de ville.
« On a renforcé notre dispositif de gestion de ravitaillement, car il manquait d’eau l’année dernière. C’était davantage lié à un problème de gestion opérationnel sur le terrain qu’à la chaleur. Là, on a renforcé les stocks, les moyens de livraisons etc… » relève Justine Nayrolles.
Le marathon Toulouse Métropole, adossé à un nombre de bénévoles conséquent (1 300 environ) escompte prochainement franchir la barre « des 4 000 participants, voire atteindre les 5 000 ».
4e, avait été sacré champion de France (2h17’44’’). Ce dernier sera d’ailleurs chargé d’emmener le tempo sur la première partie de course. Parmi les favoris figurent les EthiopiensTegegne Abraraw Misganaw et Damessa Sufa Chala, respectivement crédités de 2h10’12’’ et 2h12’44’’ à Dubaï en début d’année.
sélectionné aux prochains championnats du Monde de 100 km à Doha.
Enfin, Julien Casoli sera le favori de la course handisports, lui qui a porté le record de l’épreuve à 1h40’01’’ en 2013.